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Histoire[]

(En cours de rédaction)


Organisation des armées[]

L'utilité et les types de sous-groupes []

C'est la notion de front qui détermine l'organisation. En effet, l'ensemble des forces de la République est divisé en différent sous-groupe créés afin de facilité la gestion des différents fronts d'une guerre et de facilité le passage des ordres d'une échelle à l'autre.

Il existe de multiple sous groupe au sein des armées et flottes.

Il existe 4 sous-groupe dans la marine spatiale, 1 dans la chasse, 8 dans l'infanterie, 2 dans la cavalerie et 1 dans l'artillerie.

Tout ces sous groupe sont classé en trois grand type:

-Les groupes administratifs, qui possèdent une administration associée aux combattant. Ce type de sous-groupe existe afin de rendre plus simple l'organisation du ravitaillement, de l'équipement, de la santé et des aspects juridiques.
Chacun de ses sous groupe possèdent donc un bureau administratif dédié au sein d'une base des FAR, du personnel médical attaché et un état major composé d'un à 6 officier, accompagné de consultant et qui commande le groupe sur le terrain sans pour autant être un combattant au sein d'une escouade de ce sous groupe.
Chaque armée possèdent deux types de sous groupe administratifs.
Le Haut, qui s'occupe de centraliser les aspects juridiques et de consigner les rapports de missions.
Le bas, qui s'occupe du ravitaillement, de l'organisation des soin et du cadre de vie.

-Les groupes opérationnels, qui constituent des regroupements permanent sans administration attachée. Ces groupes n'existent que pour simplifier le passage d'ordre et chaque groupe commandé par un officier contient plusieurs autre groupe commandé par des officiers de rangs inférieurs, à l'exception de l'escouade, de l'escadron et de la flottille.
Aucun de ces groupes ne possèdent d'état major, hormis ceux qui sont, en même temps, administratifs.

-Les groupes tactiques, qui n'existe que le temps d'une bataille ou d'une opération, lorsqu'un officier supérieur à besoin de découper son armée en groupe plus facilement contrôlables.


L'infantrie[]

Les groupes :


L'armée (147 456 soldats)[]

L'armée est le premier sous-groupe de l'armée terrestre au sein de l'infanterie, le plus grand qu'il est possible de commander à échelle tactique (ce qui n'empêche pas d'en avoir deux sur une même bataille s'il y en a besoin).
L'armée est un sous-groupe opérationnel commandé par un général, elle est composé de 16 légions.
En raison de son caractère opérationnel, l'armée ne possèdent pas d'Etat-major à elle, puisqu'il est rare qu'une armée soit déployée en entier à un seul endroit, si bien que c'est l'état-major général des FAR qui s'occupe des ordres stratégique données aux armées et c'est, le plus souvent, l'état-major des légions qui s'occupe de la tactique sur le terrain.
Dans les cas où les armées sont réunit sur un seul théâtre d'opération, le général d'armée à le privilège de pouvoir réunir un Etat-major, malgré le caractère non administratif de son groupe. Cet Etat-major est constitué d'une partie des membres des Etat-major de légion, selon les besoins du général.
Les armées sont nommée en fonction du nombre qu'il y en a en tout au moment de la formation d'une armée. S'il y a 12 armée, la 13ème formée sera appelée 13ème armée.
Les armées sont indissolubles, on ne peut qu'en créer de nouvelles. Ainsi, la 1ère armée, même si elle périt totalement et doit être totalement reformé, s'appellera toujours première armée, même après changement de tout son personnel.


Le corps (18432 à 36 864 soldats) []

Le corps est un sous-groupe tactique, il n'a pas de réel existence en dehors des champs de bataille. Il n'est sollicité que lorsqu'un général d'armée à besoin d'un regroupement plus important qu'une légion. Il est composé de 2 à 4 légion et une armée ne peut être divisé qu'en 4 corps maximum. Lors de la création d'un corps, c'est le commandant de légion le plus ancien qui devient le chef de corps.
Les corps n'ayant qu'une durée de vie éphémère, ils sont nommé comme "corps de l'officier X"


La légion (9216 soldats)[]

C'est le sous-groupe administratif Haut de l'armée et le groupe opérationnel inférieur à l'armée. Elle est commandé par un colonel et est composé de 4 régiments.
C'est le plus petit groupe que l'on peut envoyer sur un front galactique.
En raison de son caractère administratif Haut, la légion possèdent un Etat-major de 3 à 6 personne, choisit par le colonel, ainsi que du personnel non combattant au sein d'une base des FAR.
C'est au niveau de la légion que s'organise le suivit des soldats en matière d'administration, de discipline et de justice et c'est aussi à ce niveau que sont consigné les rapports de mission des différents groupes qui compose la légion.
Les légions étant un groupe administratif, celle-ci ont un matricule, lié au classement informatique de l'administration des FAR. Ce matricule est un nombre à 3 chiffres, sans rapport avec le nombre de légion qui existe en réalité. Ainsi, la 666ème légion peut exister, même s'il n'y a pas 666 légion en réalité.


Le régiment (2304 soldats)[]

C'est le sous-groupe administratif bas et le groupe opérationnel inférieur à la légion. Il est commandé par un commandant ou un major, qui possèdent un Etat-major d'une seule personne comme conseiller.
C'est le plus petit groupe que l'on peut envoyer sur un front planétaire et aussi l'échelon où est organisé le ravitaillement, la médecine et le logement. Chaque régiment est donc une unité autonome sur le champs de bataille, apte à se débrouiller seule en cas de besoin, car n'ayant pas besoin du concours d'un échelon supérieur pour son autosuffisance, qui est directement organisé par l'administration générale des FAR.
En dehors des opérations spéciales, un régiment ne peut pas être déployés sur plus d'une planète à la fois, si bien que les hommes du régiments sont rarement séparés par plus qu'un continent. De plus, chaque base des FAR est construite de façon à prévoir des quartiers réunissant les régiment ensemble.
Les régiments sont la plus ancienne organisation militaire au sein de l'armée FAR, si bien que nombre d'entre eux ont une histoire militaire parfois très longue.
Les régiments, lorsqu'ils sont formée, sont nommée en fonction du nombre de régiment qui a existé pendant toutes l'histoire de l'armée de la République. Ainsi, un régiment dissout l'est définitivement et il est impossible de redonner son numéro. Etant donné la très longue histoire militaire de la République et les périodes de paix qu'elle a connu, l'obligeant à dissoudre beaucoup de régiment pour diminuer son armée, les numéros des régiments sont très rarement à moins de 4 chiffres.
De fait, ces numéros à rallonge ne sont plus utilisé dans les titulatures, hormis pour les commandants de régiments, afin d'éviter les confusions.
Actuellement, le régiment avec le nombre le plus élevé est le 200956ème régiment, témoignage de la violence des guerres spatiales, pour qu'il ait fallu créer 200 956 régiments dans l'histoire de la République. Le plus bas est le régiments numéro 100, dont l'histoire remonterait à la première armée républicaine et qu'il est de tradition de ne jamais dissoudre.
C'est d'ailleurs le seul régiment qui est resté actif lors de la dissolution totale des forces terrestre de la république et la dissolution partielle des forces spatiales, durant les milles ans de paix qu'elle a connu après la Réforme de Ruusan.


Le bataillon (288 à 576 soldats)[]

Comme le corps, le bataillon est un groupe tactique éphémère. Il est composé de 2 à 4 compagnies, elles même composé de 4 pelotons. Il ne peut y avoir que 4 bataillons au maximum dans un régiment.
Même s'il est un échelon plus élevé que la compagnie, le bataillon n'existe pas sans elle, qui est aussi un groupe tactique éphémère. En effet, ce groupe est spécifique à la gestion d'un objectif du régiment dont le commandant du régiment ne pourrait lui même assurer la supervision. Au contraire de la compagnie, qui est quasi systématiquement utilisé, le bataillon est très rare sur un champs de bataille, car il est rare d'avoir plus d'une compagnie par objectif, à moins d'y emmener tout le régiment. En effet, l'équipement moderne et l'appuie spatial permet à un petit nombre de soldat d'être très efficace et de remplir des missions en étant quelques dizaines, quand il en fallait des centaines par le passé. S'y ajoute le faible nombre de soldat et le cout exorbitant de chacun d'eux au sein des armées modernes ainsi que le développement des interfaces de gestions de troupes sophistiqué, réduisant le nombre de troupe engagée et rendant le bataillon obsolète dans la chaine de commandement.
Le bataillon est commandé par son officier le plus gradés, qui est lui même le chef d'une escouade, du peloton qui la contient et de la compagnie qui contient le peloton. C'est le premier échelon dont le commandant est directement attachés à ces troupes, c'est à dire qu'il ne peut commander directement que son escouade, et non pas changer de sous-groupe au gré des besoins sur le terrain.
Le bataillon est désigné par le nom de son commandant comme "bataillon de l'officier X"


La compagnie (144 soldats) []

C'est un groupe éphémère également, car le développement du matériel informatique sophistiqué de gestion des troupes permet normalement à un commandant de régiment de ne pas avoir à regrouper ses pelotons pour faciliter le commandant et peut s'occuper directement de ceux-ci. Malgré tout, la forme même de la guerre terrestre moderne fait que l'on envoie rarement moins de cent ou deux cent soldats sur un objectif, aussi la plupart des chef de régiment regroupe leur peloton en compagnie avant une action. La compagnie est toujours constituée de 4 pelotons, deux pelotons représentant trop peu d'homme pour justifier un échelon hiérarchique supérieur à la simple coopération sur le terrain.
Même si elles ne sont théoriquement pas pérenne, la plupart des régiments ont des compagnies informelles qui perdurent d'une mission à l'autre, ce qui fait que la compagnie est, bien plus que le peloton, le réel échelon opérationnel de base.
La compagnie est commandée par son officier le plus important, qui est lui même à la tête d'un peloton et d'une escouade de ce peloton.
On nomme généralement les compagnies en fonction de son officier, mais l'usage veut que celle-ci se donne souvent un nom qui peut être une couleur ou un qualificatif issus d'une opération.


Le peloton (36 soldats)[]

Le peloton est l'échelon opérationnel de base de l'infanterie. il est constitué de 4 escouades et commandé par un lieutenant ou un capitaine, qui est à la tête d'une des escouades du peloton.
Le peloton est nommé en fonction du nombre de peloton existant dans la légion dont il fait partie (normalement 256).


L'escouade (9 soldats)[]

L'escouade est la plus petite unité de l'armée, mais bien qu'elle soit opérationnelle, donc permanente, elle n'agit jamais seule et n'a jamais l'initiative, mais est toujours au sein d'un peloton, avec qui elle garde un contact permanent. Elle est composé de 7 soldats, d'un caporal et d'un officier allant du sergent au capitaine.
L'escouade est nommé selon un code couleur(bleu, rouge, jaune, vert) par le chef du peloton dont elle fait partit.



Les deux niveaux de commandement[]

Il existe deux niveau de commandement qui répartissent les groupes en deux catégories, en plus des catégories liée à l'organisation de l'armée.

-Les groupes de commandement majeur, dont l'officier n'est pas compris comme un membre de l'unité, mais est extérieur à celui-ci. Dans ce type de groupe, le commandant n'opère pas sur le terrain directement, mais gère la logistique tactique. Il peut, si le besoin s'en fait sentir, prendre le commandement de n'importe quel sous-groupe de son propre groupe pour mener une opération, mais il ne remplacera pas le commandant réel de ce sous-groupe, il s'ajoutera simplement.
Ainsi, un chef de régiment peut, si le besoin existe, mener lui même un peloton au combat, mais il ne remplacera pas le chef du peloton, qui sera toujours présent, mais deviendra son subordonnée pour l'opération et lui cèdera le commandement de son escouade.
Les groupes de commandement majeur sont: les armées, les corps, les légions, les régiments.

-Les groupes de commandement mineur, dont l'officier est compris dans l'ensemble des soldats, c'est à dire qu'il commande directement une escouade au sein de son groupe et ne peut pas prendre directement le commandement d'une autre.
C'est le cas pour les bataillons, les compagnies, les pelotons et les escouades.

La titulature de l'infanterie.

Même si chaque FAR possèdent un numéro d'identification qui lui est propre, il est d'usage, en opération, pour un soldat, de se présenter selon une titulature standard, afin d'être identifiable.

La titulature se fait en fonction des deux échelons administratifs et du type de commandement (mineur ou majeur) auquel s'ajoute l'armée, comme groupe le plus important et le peloton, comme groupe le moins important.
La convention veut qu'un peloton soit désigné comme "peloton n de la légion X", qu'un régiment soit désigné comme "régiment n affecté à la légion x" et qu'une légion soit désigné comme "légion x au sein de l'armée y"

Un soldat au sein d'un groupe de commandement mineur sera nommé comme soldat du peloton dont il fait partie, puis selon sa légion et enfin selon son armée.

La titulature d'un soldat ou d'un officier de commandement mineur sera:

Untel, soldat (ou gradé) du peloton n de la légion X, au sein de l'armée y

La titulature d'un officier de commandement majeur, puisqu'il n'est pas considéré comme faisant directement partie du groupe qu'il commande sera:

Untel, gradé des FAR (selon le grade), commandant le régiment p, affecté à la légion x, au sein de l'armée y

ou

Untel, gradé des FAR (selon le grade) commandant la légion x au sein de l'armée y

Il n'existe aucune référence standard aux échelons éphémères, ceux-ci n'étant pas considéré. Toutefois, il est admis qu'un commandant de compagnie se présente comme tel après avoir donner sa titulature standard.



La cavalerie et l'artillerie[]

La cavalerie et l'artillerie, de par leur nombre restreint et leur mission très spécifiques n'ont chacune que 3 sous-groupes dans leur arme et son systématiquement inféodée sur le terrain à l'infanterie.
L'artillerie ou la cavalerie étant, à l'heure de la guerre moderne, entièrement aéroportée et possèdent donc une capacité de déploiement uniquement limité par le nombre de véhicule d'emport, les groupes ne sont jamais affiliée à une unité d'infanterie précise, mais affectés selon les besoin à un groupe d'infanterie avant de partir pour un autre une fois la mission accomplie.
Bien qu'ayant des sous-groupes, l'arme de cavalerie et d'artillerie est surtout répartit en fonction des besoins à l'échelle d'une armée tout entière, selon les fronts et théâtres auquel fait face l'armée. Il arrive ainsi fréquemment qu'un bataillon œuvre sur plusieurs planètes proches en même temps ou soit déplacés d'une planète à une autre.

Du fait de leur polyvalence et du fait qu'ils soient toujours sous les ordres d'un chef de l'infanterie, les groupes d'artillerie ou de cavalerie sont toujours des groupes de commandement mineur.

Les groupes de la cavalerie

-Le bataillon, est aux ordres d'un officier entre le rang de capitaine et celui de major. Il s'agit d'un regroupement opérationnel permanent, mais aussi de l'unique groupe administratif, composé de 40 véhicule et de leurs équipages, donc de 20 escouade
Un bataillon ne peut être déployé en entier qu'a la demande d'un chef de régiment, car le bataillon de cavalerie, bien qu'administratif, ne possède pas d'état-major et donc dépend des décision de l'état-major de l'unité d'infanterie qu'il soutient.
Le bataillon est chargé de l'organisation du ravitaillement au sein de la cavalerie, mais aussi de l'administratif du groupe. Il possèdent donc à la fois le personnels assignés à une légion et celui assignés à un régiment, dans le cas de l'infanterie.

-L'escouade, composé de deux véhicules et de leurs équipages, l'escouade est commandé par un officier allant du caporal au lieutenant, en fonction du nombre d'hommes d'équipages.
Une escouade peut-être déployé à la demande de n'importe quel type d'unité d'infanterie, de l'escouade d'infanterie, jusqu'au général d'armée, dans la limite des effectifs disponibles et selon la tactique décidée en plus haut lieu.

Le cas de l'artillerie

La cavalerie moderne étant d'une grande puissance de feu, l'artillerie est une arme qui temps à disparaître au sein des armées, remplacée par des bombardement par chasseur, orbitaux ou simplement l'assaut de tank capable d'agir seul.
Malgré tout, l'artillerie existe encore, remplissant les quelques missions spécifiques qu'il est impossible de réussir par un assaut, un bombardement aérien ou spatial. Ces missions étant peu nombreuse, il y a généralement peu d'artillerie au sein des armées et celle-ci n'ont qu'un seul groupe de commandement: la batterie.
La batterie est un groupe de 6 véhicule commandé par un officier, du lieutenant au major, et est déployée uniquement à l'échelle d'une batterie pour un régiment, tant la puissance de feu des machines modernes d'artillerie est puissante.

Titulature dans l'artillerie et la cavalerie.

Du fait du faible nombre de groupe dans l'artillerie et la cavalerie, chaque soldat se présente en donnant l'ensemble des groupes dont il fait partie.

Du fait de leur assignation changeante, il est d'usage de rajouter à la titulature le groupe d'infanterie auquel l'escouade est assignée de manière directe.
Ainsi, une escouade de char sera dite "au ordre du groupe X"

L'artillerie, n'ayant qu'un seul groupe, rajoute "au sein de la force d'artillerie de l'armée X" à la place de "au sein de l'armée X"

Un soldat de cavalerie sera toujours:

Untel, soldat (ou officier) de l'escouade x du bataillon y, au sein de l'armée n, aux ordre du groupe d'infanterie p.

De la même façon, un soldat de l'artillerie sera toujours:

Untel, soldat (ou officier) de la batterie x, au sein de la force d'artillerie de l'armée y, aux ordres du groupe d'infanterie p


Fonctionnement des armées, flottes et attribution[]

Les fronts[]

La notion de front est la notion qui définit l'organisation des armées dans les Forces armées de la République.
Il existe 3 sortes de front:

-Les fronts galactiques, qui sont à l'échelle de plus d'une planète. Ces fronts sont caractérisé par l'importance de la marine, qui est l'armée essentiel dans ce type de front.
Le contrôle des voies hyperspatiales et celui des orbites planétaires est donc essentiel à la maîtrise de ce type de front. Ce sont aussi ce type de front qui laisse le moins de marge de manœuvre, car ils sont susceptibles d'influencer une guerre galactique entière.
Un front galactique est caractérisé par un ensemble de point stratégique disputés entre deux ennemis, relié dans l'espace et homogène géographiquement. Il peut donc s'agir tout autant d'un ensemble de secteurs inter-relié ou simplement d'un système planétaire stratégiquement indispensable pour la poursuite de la guerre.
Une guerre est dite sectorielle, quand elle met en jeu un unique front galactique, locale, quand elle met en jeu plus d'un front galactique mais contenu dans une seule portion de la galaxie et galactique, quand elle met en jeu des fronts situé dans plus d'une portion de la galaxie.

-Les fronts planétaires, qui sont à l'échelle d'une planète entière. L'armée terrestre y joue un rôle prépondérant, mais l'armée spatiale est indispensable aussi pour obtenir le contrôle de l'orbite. Une guerre est dite interplanétaire quand elle ne met en jeu que des fronts planétaires ne formant pas un front galactique.

-Les fronts régionaux, qui sont à l'échelle d'une région planétaire et qui sont l'apanage de la seule armée terrestre.
Ces fronts sont ceux qui permettent de gagner ou de perdre la bataille d'un front planétaire, ou, dans le cas de planète non centralisé par un unique gouvernement, qui sont le théâtre des conflits entre nations d'une même planète.



Les théâtres de mission.[]

Les théâtres de missions sont des théâtre d'opération différant des fronts. Un front est d'abord une dénomination pour un théâtre faisant intervenir un nombre minimum de soldats, selon des contingences opérationnelles précises et identique d'un front à l'autre.
A l'inverse, le théâtre de mission est la dénomination pour toute lieu d'opération spéciale dont les contingences sortent du cadre standard et dont la durée est définit d'avance car visant, non pas à occuper le terrain (au contraire du front) mais à visée un objectif spécifique.
Ce terme désigne aussi bien le lieu d'une opération secrète d'un commando unique de 4 personne que le lieu d'un raid massif menée par deux flottes sur des installations ennemis.
Le théâtre de mission, de part sa spécificité, qui est de n'exister que le temps de la mission et uniquement pour un des deux camps (au contraire du front, qui est une zone disputé pour les deux camps) n'est soumis à aucun minimum de troupe, car il ne faudra pas le défendre ensuite et est souvent prioritaire d'un point de vue stratégique. L'effectif envoyé ne dépend donc que des décisions de ceux qui prévoient la mission et des forces disponibles pour l'accomplir.



Les grades et salaires[]

La hiérarchie militaire des Forces Armées de la République est présenté par Ordre décroissant de grade. La solde mensuelle de chaque grade est indiqué en regard de celle-ci.

Officiers Supérieurs :
Les officiers supérieurs obtiennent une solde égale à leur grade officiel en plus d'une prime de 2 000 dataries par mois pour représenter leurs responsabilités supplémentaires.

- Amiral de la Composante Spatiale

Grade FAR


- Général de la Composante Terrestre
- Commissaire Général des Service de Renseignement


Officiers :
- Général 6 00
- Colonel 5 000
- Major 4 500
- Commandant 4 000
- Capitaine 3 500
- Lieutenant 3 000


Sous-Officiers :
- Adjudant-chef 2 500
- Adjudant 2 300
- Sergent 2 000

Volontaires :
- Caporal-chef 1 900
- Caporal 1 700
- Soldat 1 500

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